Les vagues sont plus ou
moins hautes, longues, mais leurs sommets ont la même taille la même importance
que leurs creux. Au creux de la vague, nous nous sentons petits, écrasés,
impuissants, nous pensons être englouti, notre vue s’obscurcit. Lorsque la houle
nous propulse presque hors de l’eau, nous ressuscitons, tout s’éclaircit, nous
pouvons apercevoir l’infini, nous devenons « maîtres du monde », tout
nous devient possible. La mer est sans cesse différente, elle passe du repos
apaisant d’une eau calme, presque figée, au tumulte le plus violent et
destructeur de la tempête. Notre vie est semblable, certains d’entre nous
préfèrent vivre dans des eaux tranquilles où les ondulations ont peu
d’amplitude, d’autres éprouvent le besoin de surfer sur les plus gros rouleaux.
Les eaux calmes ne le restent pas toujours et les plus agitées s’apaisent tôt
ou tard. Une mer reposée nous laissera admirer le soleil se coucher au
« bout du monde ». La composition de l’eau de la mer est la même, que
celle-ci soit presque immobile ou déchaînée. L’agitation, le ballottement, le
flux et le reflux ne se manifestent qu’en surface, l’eau des profondeurs stagne
immobile. Les êtres, les éléments, les événements changent constamment, la
perception que nous en avons aussi.
Ce blog est destiné à me faire connaître et à m’aider dans mon auto formation au métier de « coach qualité ». Je souhaite échanger avec des coachs exerçant déjà cette profession. J’espère également rencontrer des premiers clients « cobayes » qui accepteront de me rencontrer malgré mon manque d’expérience.
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