jeudi 31 octobre 2013

High-t-Tech: c'est la jungle

Dans l’industrie high-tech, la durée de vie des marques est plus aléatoire qu’ailleurs.
Car, si leur capacité à innover se trouve un jour prise en défaut, ce n’est pas seulement 
leur image qui en pâtit. Il en va de leur existence même.

Atari, le pionnier américain des jeux vidéo, et Commodore, qui domina la
micro-informatique au début des années 1980, ont disparu corps et biens dès qu’ils
ont perdu leur avance. Et l’on ne compte plus les start-up Internet passées aux
oubliettes pour la même raison. Même les icônes Sony et Apple ont failli à plusieurs
reprises tomber de leur piédestal parce qu’elles s’étaient un court moment reposé sur 
leurs lauriers.

Ainsi fonctionnent les marchés des nouvelles technologies: tous les trois ou quatre ans, 
une innovation majeure, combinaison de prouesses technologiques et d’intuitions
marketing (la Play­Station de Sony, l’iPhone d’Apple, le moteur de
recherche de Google), remet en cause les précédentes.
Certaines marques en tirent avantage, d’autres s’adaptent et les moins créatives meurent.

lundi 30 septembre 2013

Les pauvres encore plus pauvres

Ma petite fille Jordane a fait un stage dans un dispensaire au mois de janvier 2012. Voici ce qu'elle me dit un soir:

"Lorsque je parle des merveilleux progrès technologiques qui sont réalisés à l'époque actuelle, soeur Edith me fait remarquer, qu'au niveau de la misère humaine, il n'y a aucun progrès. Ce serait plutôt le contraire, les pauvres se sentent plus pauvres au milieu de tous nos biens de consommation."

samedi 31 août 2013

LA PERFECTION DE TOUTE CHOSE

J’ai découvert hier cette information :
« Des scientifiques ont fait des expériences sur des fourmis. Ils ont observé que l'organisation du travail dans la fourmilière était très structurée : il y avait la reine qui pondait les oeufs, les nourrices qui l'alimentaient, les ménagères qui nettoyaient, les maçonnes qui construisaient et réparaient, les ouvrières qui cherchaient des provisions, les guerrières qui veillaient à la défense de la fourmilière...
Cependant 10 % des fourmis, non seulement ne faisaient rien, mais gênaient le travail des autres, se mettant en travers et parfois même défaisant ce que les autres avaient fait.
Les chercheurs enlevèrent les 10 % "gêneuses", pensant améliorer le fonctionnement du tout. Au lieu d'un ordre accru, il y eut panique. Les fourmis couraient en tous sens, se rentraient dedans...
Au bout d'un certain temps, la fourmilière se reconstitua, et les activités reprirent. Les rôles avaient été redistribués. Chacune avait apparemment sa place. Et... à nouveau 10 % des fourmis passaient tout leur temps à entraver le travail des autres !
Les chercheurs recommencèrent trois fois. A chaque expérience, ils constatèrent qu'une fois supprimé les 10%, il y avait désorganisation, affolement. Chaque fois que la fourmilière recommençait à fonctionner, 10 % de nouvelles fourmis avaient repris le rôle de "gêneuses" du travail des autres. »
Me relier à l’existence de ces «fourmis gêneuses » m’a beaucoup touchée, me faisant percevoir, une fois encore, la perfection de toute chose…
Il se trouve que la personnalité de mon Enfant-Moi est de type « ménagère-maçonne-ouvrière-guerrière », c’est-à-dire capable de mille et une actions et cherchant toujours à optimiser chacune d’entre elles… Bien évidemment, ce type de personnalité est très vite agacé, voire révolté, lorsqu’il rencontre des êtres qui, soit n’ont pas les mêmes compétences, soit pas la même efficacité. Il a alors tôt fait de les étiqueter comme « fourmis gêneuses » !
O Merveille… Découvrir, sous le frein apparent d’une moindre compétence ou d’une moindre efficacité, la perfection de la Vie à l’œuvre, qui ralentit par l’un l’action de l’autre, afin que l’ensemble soit équilibré.
Révélation que rien n’est inutile et que l’apparente inaction ou contre-action, est toujours et encore l’expression de la Vie en tant que cela : perfection absolue se manifestant en tant qu’imperfection relative…
Ce constat ouvre mon cœur, plus largement encore, me permettant d’accueillir avec plus tendresse, plus de douceur, les apparents obstacles du quotidien, évènements, actions, etc, tout ce que mon Enfant-Moi étiquette à la vitesse de l’éclair comme des « fourmis gêneuses ».
Percevoir, du plus intime de notre être, que tout ce qui est a sa place, que rien n’est inutile, c’est retrouver la capacité de bénir tout ce qui est, et célébrer ensuite d’être qui nous sommes, à notre place, si nous la préférerons au rôle qu’autrui incarne.
C’est ce que rappelle cette histoire : « Un maître spirituel dirigeait un groupe de disciples qui souhaitaient progresser "sur le chemin". L'un des membres du groupe posait sans cesse des questions, interrompait, mettait en cause, bref, gênait le travail des autres. Ces autres vinrent trouver le maître et lui demandèrent d'expulser la mauvaise tête.
- "Moi, je veux bien, si c'est là votre souhait, répondit le maître, mais lequel d'entre vous veut prendre sa place?" »

Puisse cette journée vous offrir l’occasion de goûter la merveille de cette perfection et apprécier la place qui est la vôtre, quelle qu’elle soit !


(Isabelle Padovani – www.communification.eu)

Pardon, je n'ai rien écrit ce mois-ci, mais j'ai trouvé trop bien cet article ( comme beaucoup d'autres du même auteur).

mercredi 31 juillet 2013

Ce qui fait : défait.

Ou l’inverse, ce qui défait : fait ou du moins permet de faire.

Un arbre qui pousse, perturbe les autres plantations qui évoluent autour de lui. Il retire de la lumière, sous lui et autour de lui. Certaines plantes ou fleurs se développeront moins bien, certaines périront, d’autres peut-être apparaîtront : de la mousse par exemple. Si l’arbre est abattu, la lumière peut à nouveau se répandre dans et autour de l’espace ainsi dégagé, les fleurs retrouvent leurs couleurs et la maison ombragée retrouver sa clarté.


Si, jusqu’à ce jour, l’homme avait construit des maisons et immeubles sans jamais les détruire, la terre ne serait qu’un champ de ruines. La destruction comme la mort sont des évolutions, des étapes de la vie, de la création. Ce qui est, existe, une maison par exemple, empêche un autre édifice ou même un simple terrain vague de se trouver à cet endroit. À un moment donné, une personne ou plusieurs ont choisit une architecture, des matériaux correspondant à leurs goûts, leurs besoins. Peu de constructions, de moins en moins sans doute, traversent les siècles. Lorsque trop de réparations seront nécessaires, il sera préférable de détruire cette construction pour permettre à un nouveau bâtiment de voir le jour.

samedi 29 juin 2013

L’eau est partout

Dans les êtres vivants, dans l’air…
Elle est douce et pourtant très robuste, il n’en faut pas beaucoup pour arrêter une balle tirée par un fusil.
Elle se dirige toujours vers une plus basse altitude, vers la mer, elle ne traverse pas les obstacles, mais elle les contourne sans effort.
Elle lave, purifie mais peut noyer engloutir.
Elle éteint le feu, et tombe violemment après l’orage.
Le contact de notre corps avec l’eau est presque toujours le même, que ce soit dans un étang, un lac, une rivière, un torrent ou la mer, nous flottons à sa surface ou nageons sous celle-ci à peu près de la même façon.

C’est un univers que nous parcourons couché comme en apesanteur, un univers où le poids de notre corps n’est plus un problème, c’est un peu comme si nous entrions dans une autre dimension. Nous ne sommes plus l’homme debout  « attaché » à la terre par ses pieds. Nous sommes dans une position « intermédiaire » comme dans le ventre de notre mère.

vendredi 31 mai 2013

Bonne entente.

L’ambiance dans laquelle nous travaillons est très importante pour notre qualité de vie. Lorsque plusieurs personnes passent six à huit heures par jour ensemble, ce n’est pas sans occasionner des conflits et des discordes.
Mon Père, qui vient d’avoir 98 ans le 23 avril dernier, m’a raconté une histoire vraie qui lui est arrivée au cours de sa vie professionnelle.
L’entreprise qui l’employait était spécialisée dans les ascenseurs et se nommait :  Ascinter. L’équipe de dessinateurs dont il faisait partie était composée de trois hommes et de trois femmes, dont l'une était archiviste.
Rêvant toujours d’un monde idéal où le comportement de chacun serait bienveillant à l’égard des autres, mon Père instaura une règle qui fut approuvée et appliquée par l’ensemble du groupe :
Il s’agissait de n’employer que des mots agréables.
Méchant devenait : moins bon. Aveugle : non-voyant
Chaque fois qu’un mot négatif était prononcé, il fallait payer une amende.
Lorsque  assez d’argent avait été récolté, toute l’équipe se payait le restaurant.
Cette coutume dura plusieurs mois, et contribua à maintenir la bonne ambiance qui régnait dans ce petit groupe qui fonctionnait de mieux en mieux.
Ascinter fusionna avec Otis et devint : Ascinter Otis.

L’équipe fut dispersée et tout fut à recommencer…

lundi 29 avril 2013

Priorités : l’important, l’urgent, le plaisir

Quotidiennement, quel que soit notre mode de vie, nous avons à gérer des priorités. Heureusement, ces décisions s’exécutent la plupart du temps sans même que nous en ayons conscience. Contrairement à celui « qui prend son temps », l’hyperactif est constamment confronté aux résolutions de tâches prioritaires. Telle action doit être accomplie avant telle date à telle heure, tel autre problème doit être résolu encore plus tôt…


Chaque priorité peut être classée selon un degré d’urgence, d’importance et de plaisir à être exécuté.
En premier nous nous occuperons, sans hésitation de celle qui nous procurera le plus de plaisir, qui sera la plus importante et la plus urgente. Et logiquement en dernier la plus désagréable à effectuer, la plus accessoire et la moins urgente.

Généralement, c’est un peu comme aller chez le dentiste, nous reculons la date (et y pensons tous les jours) des tâches                      « désagréables, pénibles dont la réalisation nous rend malades à l’avance ». Ces actions peuvent revêtir une grande importance dans notre vie, mais n’ayant pas toujours une date « butoir » bien définie avant laquelle elles doivent être réalisées, elles sont souvent reléguées aux « calendes grecques ».

Le temps n’est pas extensible, les journées n’ont que 24 heures, repos indispensable compris et, si « du temps réservé » n’est pas prévu un peu chaque jour pour s’occuper des tâches importantes en plus de toutes celles quotidiennes ou « prioritaires », c’est comme si nous avions monté les murs de notre maison sur du sable sans avoir construit les fondations.

dimanche 31 mars 2013

Première impression

La première impression est toujours la bonne, c’est du moins ce que l’on dit. 
En tout cas, c’est sans doute la plus importante, elle façonne notre jugement pour les prochaines rencontres où nous « jugerons » ou plutôt « percevront » la personne que nous croyons déjà « connaître » après l’avoir côtoyé une seule fois.

La première fois, nous avons trouvé Paul triste, calme, renfermé. Avant même de le revoir, ou de l’entendre, il apparaît dans notre esprit avec les qualités et les défauts que nous lui avons attribués à notre première rencontre. Nous avions mis en place lors de celle-ci des préjugés, des aprioris qu’il sera difficile de modifier par la suite.
Les autres nous jugent de la même façon et nous n’en avons pas conscience. Sinon, la première fois que nous verrions un individu, nous nous ferions beau, aimable, souriant, bienveillant, même si à ce moment-là nous sommes « de mauvais poil » et en colère après la terre entière.
En fait, nous donnons chaque jour une image différente de nous-même, en fonction de notre forme, nos problèmes, nos soucis, notre humeur. En faisant l’effort d’améliorer cette image, nous modifions en partie notre état. Dans l’Evangile, je crois qu’il est écrit : « faîtes les gestes de la foi et vous aurez la foi ».

samedi 23 février 2013

Toujours mieux

Je suis toujours dans ma démarche de création d’une activité en rapport avec

 le « mieux vivre », mieux « faire », mieux « être ».
Et surtout actuellement, je voudrais rencontrer d’autres « coachs » et échanger avec eux, si vous qui me lisez en connaissiez, merci de m’aider à les contacter.
Même si je vivais cent ans (cela me paraît fort improbable), je n’arriverais sûrement pas à faire « tout » mieux, surtout que mes facultés ont plus de chances de décliner que de s’améliorer, physiquement et intellectuellement. J’espère seulement que moralement et affectueusement au moins elles resteront à la hauteur.

J’ai eu, l’année dernière beaucoup d’épreuves de santé, je suis passé très près de la mort. J’accepte plus aujourd’hui, son côté inéluctable, sa nécessité. Je ne vais pas jusqu’à dire que je n’ai plus peur d ‘elle, car je ne suis pas pressé de la connaître. Enfin « connaître » est peut-être un bien grand mot !

Pour le « mieux vivre » : j’ai beaucoup avancé dans l’ « ici et maintenant »
Comme beaucoup d’individus, je vivais souvent dans le passé : les regrets, les remords, les déceptions les moments de peine, de tristesse … et dans l’avenir : les inquiétudes, les craintes, les peurs, les moments d’angoisse, d’anxiété, de contrariété, de préoccupation, de peine…
Je savoure aujourd’hui chaque seconde qu’il m’est donné de passer sur terre.

Pour le « mieux faire » : j’ai commencé une activité de correspondant de presse, interrompu à plusieurs reprises et j’aimerais mieux écrire, mieux prendre des notes, faire de meilleures photos…Je voudrais aussi mieux m’exprimer oralement, je pense prendre des cours de diction ou d’élocution.
Depuis un an, j’aide des personnes en difficulté à trouver du travail, je serais heureux qu’au moins un projet aboutisse.
J’ai entrepris différentes démarches concernant mon projet de coaching, chambres des métiers, du commerce et de l’industrie, entreprises, individus, j’espère avoir la force et l’énergie de concrétiser au moins un test ou un point de départ de ce projet.

Pour le « mieux être » : j’ai toujours essayé d’être en paix avec ma conscience, sans je l’avoue toujours y parvenir. Je pense avoir fait des progrès dans ce domaine et être de plus en plus en accord avec elle, cela me semble être la première clé du bonheur.






mardi 29 janvier 2013

Bonne Année 2013

Treize, un chiffre plutôt porte-bonheur. (au moins pour les optimistes !)

Je souhaite à toute ma famille, mes amis, mes connaissances et aussi à tous les autres : une année pleine d’amour et d’amitié, une bonne santé, physique et morale.

L’équilibre, la joie, la bonne humeur, le bonheur que nous vivons et éprouvons, sont des       « denrées » au moins aussi contagieuses que le désordre, l’instabilité, la tristesse et la souffrance. Merci à tous ceux et celles qui participent de près ou de loin à nous faire voir « la vie en rose », aux poètes, aux musiciens, artistes de toutes sortes qui nous font oublier, même quelques instants, certaines dures réalités (ou apparences) de la vie.

Début janvier, moment privilégié pour adopter des bonnes résolutions : je viendrais à bout de certaines tâches, je ferais mieux, je ne ferais plus…
Beaucoup les inscrivent sur le papier, le principal, c’est d’accomplir un minimum de ces projets. Nous ne faisons pas « tout » ce que nous voulons, j’espère que chacun d’entre vous réaliser au moins une partie de ses souhaits.