jeudi 30 janvier 2014

Bonne Année 2014

Un petit dicton pour reprendre cette année en douceur : Les 12 premiers jours de janvier indiquent le temps qu'il fera les 12 mois de l'année. 
Très bonne année 2014 !

Je vous souhaite à tous et à toutes ( un peu tardivement) une très bonne année 2014, qu’elle vous conserve en bonne santé ou vous en procure une meilleure. Qu’un maximum de vos projets se réalisent, que vos espoirs et vos souhaits les plus fous voient le jour.

2014 m’interpelle, la somme des chiffres qui composent cette date donne : 7
Ce chiffre est magique, il est présent un peu partout : dans les religions, les traditions, la nature…
-les sept péchés capitaux
-le nombre de jours dans une semaine
-les sept mers, les sept continents, le septième ciel..
-les sept merveilles du monde
-les couleurs de l’arc en ciel (six + le blanc)
-en musique : les sept notes de la gamme diatonique
….
Il est aussi amusant de constater que les chiffres composants 2014 se retrouve dans un jeu : le 421
Alors jouez bien tout au long de cette nouvelle année !




jeudi 31 octobre 2013

High-t-Tech: c'est la jungle

Dans l’industrie high-tech, la durée de vie des marques est plus aléatoire qu’ailleurs.
Car, si leur capacité à innover se trouve un jour prise en défaut, ce n’est pas seulement 
leur image qui en pâtit. Il en va de leur existence même.

Atari, le pionnier américain des jeux vidéo, et Commodore, qui domina la
micro-informatique au début des années 1980, ont disparu corps et biens dès qu’ils
ont perdu leur avance. Et l’on ne compte plus les start-up Internet passées aux
oubliettes pour la même raison. Même les icônes Sony et Apple ont failli à plusieurs
reprises tomber de leur piédestal parce qu’elles s’étaient un court moment reposé sur 
leurs lauriers.

Ainsi fonctionnent les marchés des nouvelles technologies: tous les trois ou quatre ans, 
une innovation majeure, combinaison de prouesses technologiques et d’intuitions
marketing (la Play­Station de Sony, l’iPhone d’Apple, le moteur de
recherche de Google), remet en cause les précédentes.
Certaines marques en tirent avantage, d’autres s’adaptent et les moins créatives meurent.

lundi 30 septembre 2013

Les pauvres encore plus pauvres

Ma petite fille Jordane a fait un stage dans un dispensaire au mois de janvier 2012. Voici ce qu'elle me dit un soir:

"Lorsque je parle des merveilleux progrès technologiques qui sont réalisés à l'époque actuelle, soeur Edith me fait remarquer, qu'au niveau de la misère humaine, il n'y a aucun progrès. Ce serait plutôt le contraire, les pauvres se sentent plus pauvres au milieu de tous nos biens de consommation."

samedi 31 août 2013

LA PERFECTION DE TOUTE CHOSE

J’ai découvert hier cette information :
« Des scientifiques ont fait des expériences sur des fourmis. Ils ont observé que l'organisation du travail dans la fourmilière était très structurée : il y avait la reine qui pondait les oeufs, les nourrices qui l'alimentaient, les ménagères qui nettoyaient, les maçonnes qui construisaient et réparaient, les ouvrières qui cherchaient des provisions, les guerrières qui veillaient à la défense de la fourmilière...
Cependant 10 % des fourmis, non seulement ne faisaient rien, mais gênaient le travail des autres, se mettant en travers et parfois même défaisant ce que les autres avaient fait.
Les chercheurs enlevèrent les 10 % "gêneuses", pensant améliorer le fonctionnement du tout. Au lieu d'un ordre accru, il y eut panique. Les fourmis couraient en tous sens, se rentraient dedans...
Au bout d'un certain temps, la fourmilière se reconstitua, et les activités reprirent. Les rôles avaient été redistribués. Chacune avait apparemment sa place. Et... à nouveau 10 % des fourmis passaient tout leur temps à entraver le travail des autres !
Les chercheurs recommencèrent trois fois. A chaque expérience, ils constatèrent qu'une fois supprimé les 10%, il y avait désorganisation, affolement. Chaque fois que la fourmilière recommençait à fonctionner, 10 % de nouvelles fourmis avaient repris le rôle de "gêneuses" du travail des autres. »
Me relier à l’existence de ces «fourmis gêneuses » m’a beaucoup touchée, me faisant percevoir, une fois encore, la perfection de toute chose…
Il se trouve que la personnalité de mon Enfant-Moi est de type « ménagère-maçonne-ouvrière-guerrière », c’est-à-dire capable de mille et une actions et cherchant toujours à optimiser chacune d’entre elles… Bien évidemment, ce type de personnalité est très vite agacé, voire révolté, lorsqu’il rencontre des êtres qui, soit n’ont pas les mêmes compétences, soit pas la même efficacité. Il a alors tôt fait de les étiqueter comme « fourmis gêneuses » !
O Merveille… Découvrir, sous le frein apparent d’une moindre compétence ou d’une moindre efficacité, la perfection de la Vie à l’œuvre, qui ralentit par l’un l’action de l’autre, afin que l’ensemble soit équilibré.
Révélation que rien n’est inutile et que l’apparente inaction ou contre-action, est toujours et encore l’expression de la Vie en tant que cela : perfection absolue se manifestant en tant qu’imperfection relative…
Ce constat ouvre mon cœur, plus largement encore, me permettant d’accueillir avec plus tendresse, plus de douceur, les apparents obstacles du quotidien, évènements, actions, etc, tout ce que mon Enfant-Moi étiquette à la vitesse de l’éclair comme des « fourmis gêneuses ».
Percevoir, du plus intime de notre être, que tout ce qui est a sa place, que rien n’est inutile, c’est retrouver la capacité de bénir tout ce qui est, et célébrer ensuite d’être qui nous sommes, à notre place, si nous la préférerons au rôle qu’autrui incarne.
C’est ce que rappelle cette histoire : « Un maître spirituel dirigeait un groupe de disciples qui souhaitaient progresser "sur le chemin". L'un des membres du groupe posait sans cesse des questions, interrompait, mettait en cause, bref, gênait le travail des autres. Ces autres vinrent trouver le maître et lui demandèrent d'expulser la mauvaise tête.
- "Moi, je veux bien, si c'est là votre souhait, répondit le maître, mais lequel d'entre vous veut prendre sa place?" »

Puisse cette journée vous offrir l’occasion de goûter la merveille de cette perfection et apprécier la place qui est la vôtre, quelle qu’elle soit !


(Isabelle Padovani – www.communification.eu)

Pardon, je n'ai rien écrit ce mois-ci, mais j'ai trouvé trop bien cet article ( comme beaucoup d'autres du même auteur).

mercredi 31 juillet 2013

Ce qui fait : défait.

Ou l’inverse, ce qui défait : fait ou du moins permet de faire.

Un arbre qui pousse, perturbe les autres plantations qui évoluent autour de lui. Il retire de la lumière, sous lui et autour de lui. Certaines plantes ou fleurs se développeront moins bien, certaines périront, d’autres peut-être apparaîtront : de la mousse par exemple. Si l’arbre est abattu, la lumière peut à nouveau se répandre dans et autour de l’espace ainsi dégagé, les fleurs retrouvent leurs couleurs et la maison ombragée retrouver sa clarté.


Si, jusqu’à ce jour, l’homme avait construit des maisons et immeubles sans jamais les détruire, la terre ne serait qu’un champ de ruines. La destruction comme la mort sont des évolutions, des étapes de la vie, de la création. Ce qui est, existe, une maison par exemple, empêche un autre édifice ou même un simple terrain vague de se trouver à cet endroit. À un moment donné, une personne ou plusieurs ont choisit une architecture, des matériaux correspondant à leurs goûts, leurs besoins. Peu de constructions, de moins en moins sans doute, traversent les siècles. Lorsque trop de réparations seront nécessaires, il sera préférable de détruire cette construction pour permettre à un nouveau bâtiment de voir le jour.

samedi 29 juin 2013

L’eau est partout

Dans les êtres vivants, dans l’air…
Elle est douce et pourtant très robuste, il n’en faut pas beaucoup pour arrêter une balle tirée par un fusil.
Elle se dirige toujours vers une plus basse altitude, vers la mer, elle ne traverse pas les obstacles, mais elle les contourne sans effort.
Elle lave, purifie mais peut noyer engloutir.
Elle éteint le feu, et tombe violemment après l’orage.
Le contact de notre corps avec l’eau est presque toujours le même, que ce soit dans un étang, un lac, une rivière, un torrent ou la mer, nous flottons à sa surface ou nageons sous celle-ci à peu près de la même façon.

C’est un univers que nous parcourons couché comme en apesanteur, un univers où le poids de notre corps n’est plus un problème, c’est un peu comme si nous entrions dans une autre dimension. Nous ne sommes plus l’homme debout  « attaché » à la terre par ses pieds. Nous sommes dans une position « intermédiaire » comme dans le ventre de notre mère.

vendredi 31 mai 2013

Bonne entente.

L’ambiance dans laquelle nous travaillons est très importante pour notre qualité de vie. Lorsque plusieurs personnes passent six à huit heures par jour ensemble, ce n’est pas sans occasionner des conflits et des discordes.
Mon Père, qui vient d’avoir 98 ans le 23 avril dernier, m’a raconté une histoire vraie qui lui est arrivée au cours de sa vie professionnelle.
L’entreprise qui l’employait était spécialisée dans les ascenseurs et se nommait :  Ascinter. L’équipe de dessinateurs dont il faisait partie était composée de trois hommes et de trois femmes, dont l'une était archiviste.
Rêvant toujours d’un monde idéal où le comportement de chacun serait bienveillant à l’égard des autres, mon Père instaura une règle qui fut approuvée et appliquée par l’ensemble du groupe :
Il s’agissait de n’employer que des mots agréables.
Méchant devenait : moins bon. Aveugle : non-voyant
Chaque fois qu’un mot négatif était prononcé, il fallait payer une amende.
Lorsque  assez d’argent avait été récolté, toute l’équipe se payait le restaurant.
Cette coutume dura plusieurs mois, et contribua à maintenir la bonne ambiance qui régnait dans ce petit groupe qui fonctionnait de mieux en mieux.
Ascinter fusionna avec Otis et devint : Ascinter Otis.

L’équipe fut dispersée et tout fut à recommencer…