lundi 23 juillet 2012

Cheminement de mon auto-formation de coach


Plus j’avance et plus je suis impressionné par la tâche que j’ai à accomplir.
Pour bien faire le « métier » ou « l’activité » que j’aimerais exercer, il faudrait tout connaître sur l’être humain.
Je pense qu’aucun coach, même le meilleur ne peut prétendre à un tel niveau de compétence.
Mais, je pense aussi, qu’aucun peintre n’a attendu d’exécuter un chef-d’œuvre, avant d’exposer ou de vendre certaines de ses toiles.
Depuis le mois de novembre dernier, j’avance très lentement. J’ai été aussi pas mal perturbé par des problèmes de santé. Peut-être que ces « accidents de la vie » m’ont aidé à progresser dans mon développement personnel.

J’ai d’ailleurs commencé mon auto-formation au coaching par être mon premier « client », charité bien ordonnée commence par soi-même.
Je ne peux prétendre « aider » un autre individu, si je ne parviens pas moi-même à un minimum de connaissance de ma personnalité et à un minimum d’amélioration des qualités de celle-ci.

Je cherche comme la plupart des êtres humains à être heureux et à contribuer au maximum au bien-être de ma famille et de mes proches. Difficile d’être heureux tout seul et comment ne pas être heureux au milieu de gens heureux.
Je ne regarde plus, n’écoute plus mes amis, mes connaissances ou même simplement les individus que je rencontre de la même façon qu’autrefois.

J’ai pu constater qu’une « bonne influence » de ma part pouvait être relayée par celui ou celle qui la recevait et à nouveau transmise à une tierce personne. Un acte mauvais envers un individu a des chances de contaminer, par un effet « boule de neige », de très nombreux individus. Heureusement un acte bienveillant envers une personne, incitera cette dernière  à transmettre des bienfaits à une autre personne et ainsi de suite.

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