Plus j’avance et plus je
suis impressionné par la tâche que j’ai à accomplir.
Pour bien faire le
« métier » ou « l’activité » que j’aimerais exercer, il
faudrait tout connaître sur l’être humain.
Je pense qu’aucun coach,
même le meilleur ne peut prétendre à un tel niveau de compétence.
Mais, je pense aussi,
qu’aucun peintre n’a attendu d’exécuter un chef-d’œuvre, avant d’exposer ou de
vendre certaines de ses toiles.
Depuis le mois de novembre
dernier, j’avance très lentement. J’ai été aussi pas mal perturbé par des
problèmes de santé. Peut-être que ces « accidents de la vie » m’ont
aidé à progresser dans mon développement personnel.
J’ai d’ailleurs commencé mon
auto-formation au coaching par être mon premier « client », charité
bien ordonnée commence par soi-même.
Je ne peux prétendre
« aider » un autre individu, si je ne parviens pas moi-même à un
minimum de connaissance de ma personnalité et à un minimum d’amélioration des
qualités de celle-ci.
Je cherche comme la plupart
des êtres humains à être heureux et à contribuer au maximum au bien-être de ma
famille et de mes proches. Difficile d’être heureux tout seul et comment ne pas
être heureux au milieu de gens heureux.
Je ne regarde plus, n’écoute
plus mes amis, mes connaissances ou même simplement les individus que je
rencontre de la même façon qu’autrefois.
J’ai pu constater qu’une
« bonne influence » de ma part pouvait être relayée par celui ou
celle qui la recevait et à nouveau transmise à une tierce personne. Un acte
mauvais envers un individu a des chances de contaminer, par un effet « boule
de neige », de très nombreux individus. Heureusement un acte bienveillant
envers une personne, incitera cette dernière à transmettre des bienfaits à
une autre personne et ainsi de suite.
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